1. La formation magnétisme à Lille
La première référence moderne dans l’étude de la démonologie est celle proposée par Jean Wier (1515-1588) (disciple d’Agrippa) qui, en 1577, publie Pseudomonarchia Daemonum. Au sommet de la hiérarchie infernale, il nous propose Belzébuth comme l’empereur des enfers avec une organisation territoriale composée des rois, des points cardinaux, de rois infernaux… et une organisation des fonctions avec des présidents, chefs de guerre, légions…
a. La formation radiesthésie à Lille
L’autre grand ouvrage sur le sujet est le Sanctum Regnum (Grand Grimoire) qui date du XIXe siècle avec des dirigeants (Lucifer, Belzébuth et Astaroth) puis des grands démons et tout un tas d’autres démons à leurs services. La grande référence qui sert pour l’étude de la démonologie n’est autre que Le Dictionnaire Infernale de Jacques Collin de Plancy (1794-1881) qui se définit tout simplement (dans le sous-titre) comme un « Dictionnaire infernal ou Bibliothèque universelle sur les êtres, les personnages, les livres, les faits et les choses, qui tiennent aux apparitions, à la magie, au commerce de l’enfer, aux divinations, aux sciences secrètes, aux grimoires, aux prodiges, aux erreurs et aux préjugés, aux traditions et aux contes populaires, aux superstitions diverses, et généralement à toutes les croyances merveilleuses, surprenantes de la formation radiesthésie à Lille, mystérieuses et surnaturelles ». Le succès est au rendez-vous avec six éditions entre la première sortie en 1818 et 1863 avec les illustrations de Louis le Breton. C’est ce texte qui sert de base de référence à notre étude sur la classification des démons. Nous pouvons également citer les travaux de John Milton (1608-1674) avec son Paradis perdu.
b. La formation Géobiologie à Lille
III – La place de Satan
Le démon (nous préciserons le vocabulaire par la suite) a beaucoup influencé l’histoire et la théologie chrétienne même s’il n’est pas omniprésent dans les textes (La bible parle du démon plus de 1000 fois et le nouveau testament compte 568 occurrences au démon). Certains théologiens ont commis l’erreur de nier son existence, au point d’en oublier la démonologie, au point d’en oublier certains faits du Christ, jusqu’à oublier de permettre le combat spirituel de la formation géobiologie à Lille.
Le Christ est venu pour « détruire les œuvres de Satan », qu’il l’appelait « le prince de ce monde ». Il l’a vaincu sur la croix. Il a mis en lumière l’action de Satan contre Dieu, libéré les possédés, faisant ainsi la distinction entre la délivrance proprement dite et la guérison des malades.
c. La formation blessures de l’âmes à Lille
C’est dans le nouveau testament, que l’on commence à découvrir le nom de Lucifer. Il était le plus puissant des anges créés par Dieu. Mais empli d’orgueil il s’est rebellé contre lui, devenant ainsi son adversaire. Déchu, Lucifer devient Satan le démoniaque. Mais il reste toutefois sous le contrôle de Dieu, ne pouvant agir sans son accord, en l’utilisant pour accomplir ses propres desseins.
IV – Vous avez dit démonologie pour la formation des blessures de l’âme à Lille?
Commence à se dessiner progressivement l’objet d’étude de cette formation, l’étude du démon qui apparaît il y a bien longtemps (sûrement depuis l’apparition de l’homme) et qui se matérialise dans la chrétienté à travers le nom de Satan. L’étude de cette force est l’objet d’étude de la démonologie, discipline dont nous allons définir les contours avant d’expliquer la différence avec l’exorcisme.
2. La formation Passeur d’âmes à Lille
A – Définition de la démonologie
Le terme de démonologie vient du latin daemon qui provient précédemment du grec ancien δαίμων (daemons). Il s’agit de l’esprit savant. On fait alors référence à un être surnaturel qui peut être bon ou mauvais, qui dirige la destinée des êtres humains. Ils sont considérés comme les gardiens de la connaissance et des intermédiaires entre le plan divin et le monde des humains pour la formation passeur d’âmes à Lille.
Les Grecs vont classer l’univers avec à sa tête les Dieux, en dessous les Héros ou les demi-dieux. Entre cette force supérieure et l’homme (le quatrième niveau), se situe les Daemons qui sont associés aux mondes souterrains (sans connotation négative). Il existe différentes catégories parmi les daemons liés aux différents domaines de l’existence car tout chose était considérée comme imprégnée d’un esprit divin :
ü Les esprits des morts : les Mânes ;
ü Les esprits tutélaires de la maison : les Lares ;
ü Les esprits liés à la destinée : les Génies ;
ü Les spectres des morts : les Lémures.
3. La formation Alchimie à Lille
Dans les traditions gréco-romaines ou antérieures, le Démon n’est donc pas forcément considéré comme un être mauvais mais ayant une place dans l’organisation de la société. Son influence est par contre, toujours négative pour la formation alchimie à Lille.
4. La formation exorcisme à Lille
Si l’on reprend nos propos, l’étymologie du mot démon fait référence à un génie qui peut être bon ou mauvais. Pour en dire plus, on dit qu’il est un « Esprit bon ou mauvais qui préside aux destinées de l’individu, de la communauté ». Il s’agit donc d’une forme de divinité (esprit) qui va avoir une influence sur nous à qui l’on peut faire appel pour faire du bien : une bonne récolte, la protection en cas de conflit ou de fléau ou du mal sur une autre personne et/ou des biens. Le démon n’est donc pas mauvais en soi, c’est l’usage que l’on en fait qui va être plus ou moins bonne pour la formation alchimie à Lille.
Lorsque l’on fait référence au diable, par contre là nous sommes directement dans une référence à l’utilisation d’une puissance d’un ange déchu. Ce terme provient du grec Diaballein qui signifie diviser, attaquer, calomnier, salir. C’est l’esprit du mal, c’est-à-dire la face sombre du démon ainsi que la formation magnétisme à Lille.
5. Les voyages initiatiques à Lille
C’est avec la chrétienté et le monothéisme que ce terme de démon va avoir la place et la signification qu’on lui connaît aujourd’hui d’un esprit impur, d’un mauvais ange, du diable, d’une idole. Il n’existe plus qu’un Dieu qui va instaurer le bien et le mal. Les Daemons vont alors se diviser en deux classes, les anges et les démons.
Si l’on trouve les démons dans tous les écrits relatifs au nouveau testament et sur lesquels intervient Jésus, l’analyse que l’on adopte aujourd’hui de cette notion trouve sa source principale avec les travaux de Thomas d’Aquin (1225-1274) autour du bon et du mauvais. La sorcellerie travaille avec le démon. Les démonologues vont alors se questionner sur l’organisation des démons et reconstituent la hiérarchie infernale.
C’est plus particulièrement à la fin du XVIIe siècle que le terme est alors utilisé pour désigner un ange déchu. La définition actuelle du démon va alors être « une force intérieure qui pousse un individu à faire le mal ».
B – Les hommes faces au démon pour les voyages initiatiques à Lille
Si à l’origine, les démons sont des sortes de « connaissances » qui ne sont pas associés aux biens ou au mal comme cela va l’être avec le combat contre Satan, vont alors apparaître deux manières de travailler autour de ces forces :
ü Ceux qui les étudient, qui essayent de mettre en place une « science » des démons pour les combattre : les démonologues ou les exorcistes ;